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Du point de vue international...?

C'est rigolo.
De vivre avec un tas de cultures différentes autour. Des fois, on comprend, mais des fois pas.
On vit les choses différemment, sûr de nous, et en même temps, nos repères que l'on croyait bien ancrés se mettent à flotter et à devenir flous.

Tiens, vivre la coupe du monde dans un environnement comme celui-là, ça donne un autre sens. Faut dire, suis pas très fan de foot et ça, ça rend les choses plus intéressantes.
Et puis, suivre ces autres pour aller découvrir un bout de leur culture. Ce soir, c'était au goût flamenco! Et ça change de l'ambiance anglo-saxonne...

D'un point de vue international, quand même, je dirai que c'est plutôt pas mal....!

Diane Arbus...

Ca fait déjà un bout de temps que je voulais laisser une trace de cette photographe ici. Après être allée voir son expo, ici, à Edimbourg. Je ne la connaissais pas avant, j'y suis donc allée vierge de préjugés ou autre préconçus.

Je n'ai pas été déçue. De voir toutes ces photos de marginaux, peignant une société américaine des années 60, différente. Des photos qui transcrivent une intimité forte de tous ces individus, comme si on rentrait vraiment dans leur vie, dans leur âme un peu aussi.

Et je ne sais pas bien pourquoi, ça m'a touché, et perturbé.
Y'avait comme un lien de proximité avec ces marginaux, comme si je me sentais marginale à ma façon.
Et cette différence, loin de tout ça.
Et j'ai envie d'y laisser ici, une trace... pour souvenir, peut-être...

Ils sont arrivés...!

Ces mots, tout mêlés.
Ces pages, toutes bien lissées.
Ces livres, tout en nouveauté...

J'en ai maintenant
une dizaine, de livres;
des centaines et des centaines, de pages;
des millers et des millions, de mots;
et le tout en français... !
Et ils n'attendent plus que moi pour m'emmener en voyage, ne plus me lâcher la main, m'accompagner et me faire rêver....

Un p'tit bonheur...

Rouler de liberté.

Mais que c'est bon!
De prendre la tangente,
Les routes d'à côté,
Celles sur le côté,
et rouler, rouler, rouler...
Sentir tes joues rosir du petit vent,
Atterir sur une petit crique isolée,
Te dire que ce serait un bien bel endroit de photo,
ou de t'allonger et lire un livre,
Rouler, rouler, rouler,
Allez, et même sans les mains!!!!
Se sentir libre,
Et rouler.....

par contre, ça, j'aime.

Sa voix.
La douceur.
J'ai envie de mettre le son fort.
Sentir la musique venir remplir là-dedans.
Sentir le coeur qui bat la rythmique.
Sentir les mots chaleureux me serrer.

Fort, fort, fort.....

J'les aime pas.

J'les aime pas.
Ces semaines-là.
Où respirer n'existe pas.
Où rêver est trop loin, là-bas.

Je peste,
Je fume,
J'les aime pas.

Et une petite dernière pour la route....

Bonne nuit....!

Merci à Cécile, et à Flo! je serai sans doute pas tombée dessus autrement!

Et après ça, j'arrête les moutons!

Aujourd'hui, je suis tombée sur un article, très à-propos, qui vantait les mérites d'une tondeuse à gazon très naturelle, peu coûteuse, et efficace. Vous l'aurez donc deviné, cette tondeuse n'est autre que le mouton!
C'est apparemment une solution qui est employée dans les communes environnantes de Lyon pour tondre le gazon.

Alors, ça m'a fait sourire.
Imaginer Lyon et ses alentours remplis de moutons dans les parcs...
Un retour de la nature dans la ville, dans la mesure du possible... Y'a pas du bon, là?????

Spéciale dédicace...

Et si je ramenais le chef dans mes bagages, alors?
Je suis sûre, ce sera un bon... et pas le roi des cons!
C'est bien pour la révolution, ça, non?

La révolution des moutons!

Alors, on y est allées. Et on n'a pas été déçues!
Et même si notre destination était considérée comme insolite, on a trouvé des endroits vachement chouettes.
On sentait déjà le goût des Highlands...
La ville avec ses monuments et bâtisses impressionnantes, mêlés aux rues sommaires dans lesquelles il semble que les esquives se font au pub.
Et les paysages splendides, aux couleurs majestueuses et intenses horizons qui nous ont offert cette bouffée d'air qui porte. Avec ses moutons que l'on a croisé sur le chemin, qui n'en reviennent pas que quelqu'un ose venir perturber leur tranquillité. On a même assisté cette fois à leur regroupement sur le chemin, et on a commencé à y croire nous, à la révolution des moutons! Un jour viendra, peut-être...