pour photographier les gens.
Et là-bas... c'était pire.
Une impression de voyeur,
moi, touriste avec mon appareil
et eux vivant avec peu, sans cacher.
Exception faite quelques rencontres.
La photographie était alors
consciemment vécue des deux côtés.
Et Brinh, ce bout de femme de 52 ans,
c'est une rencontre éphémère,
c'est une histoire à elle seule,
c'est une vie faite de rien mais de sourires.
Et c'est aussi mon premier "vrai portrait" d'inconnue.
C'est pas peu....