Avril 2011, Edimbourg

vendredi 29 octobre 2010

Moi, l'appareil photo et les gens. Ah.

Je ne suis déjà pas à l'aise
pour photographier les gens.
Et là-bas... c'était pire.
Une impression de voyeur,
moi, touriste avec mon appareil
et eux vivant avec peu, sans cacher.

Exception faite quelques rencontres.
La photographie était alors
consciemment vécue des deux côtés.

Et Brinh, ce bout de femme de 52 ans,
c'est une rencontre éphémère,
c'est une histoire à elle seule,
c'est une vie faite de rien mais de sourires.
Et c'est aussi mon premier "vrai portrait" d'inconnue.
C'est pas peu....



2 commentaires:

  1. C'est chouette de se l'entendre raconter, cette histoire...

    C'est toujours délicat, cette histoire de "touriste voyeur", qui photographie à tout va, des visages attrapés au vol, en consommateur...

    Madame Brinh est magnifique, on la perçoit, la rencontre qui donne tout son sens à la photo, (cette madame Brinh me déclenche immédiatement un très grand sourire!)...

    Le premier "vrai portrait", magnifiquement réussi, d'une longue, très longue série!

    (et dis, on aura aussi l'histoire du sourire du monsieur qui se passe la main sur le visage?)

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  2. A voir ses yeux scintillants, on imagine que tes yeux pétillaient de tout autant d'éclats!!!

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